Les recherches d'aujourd'hui se porte sur comment ralentir le processus car nous n'avons pas encore trouvé de traitement qui pourrait guérir les personnes atteintes de cette maladie. Mais il reste de l'espoir car la technologie et la science évolue sans cesse et beaucoup de recherche son effectué sur cette maladie.
L’origine même de la maladie est encore inconnue à ce jour, mais des avancées considérables ont été réalisées au cours des dernières décennies, dans la compréhension des mécanismes moléculaires en jeu ainsi que dans la progression des lésions au cœur du cerveau.
De nos jours de nombreuses recherches sont faites en quête de découvrir différentes nouvelles méthode de traitements afin d’espérer de mettre au point un remède miraculeux qui guérira la maladie d’Alzheimer ou stoppera son évolution. Aujourd’hui nos traitement mis aux points ne s’attaquent qu’aux symptômes de la maladie, c’est pour sa que les scientifiques effectuent des recherches pour arrêter ou au mieux ralentir la progression de la maladie, identifier les facteurs de risques et améliorer la capacité a diagnostiquer l’Alzheimer plu tôt dans sa propagation.
Mais les nouveaux médicament prometteurs peuvent prendre plusieurs années à se concrétiser et cela parce que ces médicaments sont mis au point dans études en cours ce qui peut nous nous donner à un non fonctionnement comme espère a l’échelle mondial. La question principale sur laquelle les scientifiques travaillent et comment peut-on prévenir la maladie d’Alzheimer ?
Cette question va alimenter de nouvelle recherche, les scientifiques se penchant sur cette question ne sont pas encore dans la capacité de donner une réponse claire en partie a cause de la nécessité d’étude a une grande échelle.
Mais les recherches mis en place sont prometteuses pour l’avenir. Il existe néanmoins par exemple : L'Association Alzheimer qui finance les études explorant l'influence de l'exercice, du régime alimentaire, de la stimulation sociale et mentale et d'autres facteurs dans le développement de la maladie d'Alzheimer.
Et pour trouver de meilleurs traitements, ainsi qu’une nouvelle méthode permettant de diagnostiquer la maladie l'Association Alzheimer finance aussi des chercheurs qui examinent de nouvelles stratégies de traitement et qui plaide en faveur d'un financement fédéral accru de la recherche sur la maladie d'Alzheimer.
Et si nous pouvions diagnostiquer la maladie d'Alzheimer avant que les symptômes ne commencent ? Nous avons beaucoup de raison d’espérer sur l’avenir des traitements futurs qui pourraient alors cibler la maladie dans ses premiers stades, avant que des lésions cérébrales irréversibles ou un déclin mental ne se produisent. Des recherches sur de nouvelles stratégies pour faire un diagnostic précoce fait partie des domaines les plus actifs dans la science, de la maladie d'Alzheimer, et le financement de l'Association Alzheimer a stimulé des progrès significatifs et des progrès constants.
L’Alzheimer’s Association a octroyé près de 315 millions de dollars à plus de 2 200 projets.
Dans notre cerveau, les neurones sont organisés en réseau.
Ce sont ces cellules qui transmettent l'influx nerveux et les informations. Dans la maladie d'Alzheimer, ce tissu cérébral est lésé. Dans le cerveau des malades, on observe trois choses caractéristiques de la maladie :
-
une perte de neurones
-
la formation de plaques dites amyloïdes, dues à l'accumulation de certaines protéines
-
la "déformation" de certaines protéines (les protéines Tau) qui composent la structure interne des neurones.
Toutes ces lésions progressent dans le cerveau année après année.
Elles commencent par toucher les structures les plus internes du cerveau, dont l'hippocampe qui est dédié à la mémoire. C'est la raison pour laquelle la maladie se manifeste généralement au début par des troubles de la mémoire.
Puis, les lésions atteignent les zones postérieures et externes du cerveau qui traitent les informations plus globales, liées à la gestuelle et au langage. D'où des troubles du langage. Les patients ne parviennent plus à nommer les objets, ont des difficultés à coordonner leurs gestes et ne reconnaissent plus les choses... À terme, le cerveau des malades finit par s'atrophier totalement.
Une simple prise de sang pour diagnostiquer la maladie d'Alzheimer ?
Actuellement, pour dépister la maladie d'Alzheimer, on utilise des tests neuro-psychologiques, l'imagerie médicale pour visualiser la zone responsable de la mémoire dans le cerveau, ou encore la ponction lombaire pour détecter les marqueurs biologiques de la maladie. Plusieurs protocoles de recherche sur la maladie d'Alzheimer sont en cours.
En matière d'imagerie cérébrale, de nombreux protocoles sont menés actuellement afin de mieux connaître l'impact de cette maladie neurodégénérative sur le cerveau.
Depuis quelques mois, des volontaires participent à plusieurs protocoles de recherche sur la maladie d'Alzheimer. L'objectif de ces études est d'examiner et de comparer l'activité cérébrale entre des volontaires sains et des patients souffrant d'Alzheimer. Dans ce but, on leur injecte un traceur radioactif appelé aussi sonde. Il se fixe sur des protéines spécifiques de la maladie.
Ce type d'examen par imagerie permet donc de confirmer mais aussi d'affiner le diagnostic comme l'explique le Dr Michel Bottlaender, chercheur en neuro-imagerie : "Grâce à ce genre de protocole de recherche, on a par exemple pu mettre en évidence que les dépôts amyloïdes chez les patients existent de manière très précoce dans la maladie, dès les premiers signes cliniques. Et d'autres études ont montré qu'il semblerait que ces dépôts apparaissent une bonne décennie avant les premiers signes cliniques de la maladie". Toutefois, cet examen ne permet pas de prédire l'évolution de la maladie et d'évaluer sa gravité.
Actuellement, une nouvelle sonde radioactive est testée. L'objectif est de mettre en évidence des zones inflammatoires liées à la maladie d'Alzheimer : "On a développé une sonde qui va se fixer sur les zones d'inflammation dans le cerveau. Et on va observer si dans la maladie d'Alzheimer, il y a une inflammation, une réaction inflammatoire, où elle se situe et quelle est son importance dans les différentes structures et comment elle évolue avec la maladie", détaille le Dr Michel Bottlaender.
Pour l'instant, ces protocoles sont en cours.
Aujourd'hui, seul le PET-scan par scintigraphie, fixé sur des dépôts d'amyloïde est proposé pour confirmer le diagnostic. Mais son utilisation reste encore rare car coûteuse, entre 2.000 et 3.000 euros.
C'est généralement le médecin généraliste qui détecte les premiers signes de la maladie d'Alzheimer et écarte d'autres maladies (insuffisance rénale, diabète de type 2 ou encore pathologies de la glande thyroïde) qui pourraient être à l'origine des troubles de mémoire.
Il oriente alors vers un neurologue ou un gériatre spécialiste de la maladie d'Alzheimer.
Il n'est aujourd'hui pas possible de diagnostiquer la maladie avant l'analyse du cerveau après le décès.
-
Il n'est pas spécifique de la maladie d'Alzheimer
-
Il ne dépend du niveau de la personne testée.
Le neurologue peut également demander un examen d'imagerie du cerveau afin d'en évaluer son état et de rechercher d'autres maladies (tumeur, accident vasculaire cérébral, infection,...) à l'origine des symptômes. En règle générale, il est très difficile de visualiser une diminution de volume du cortex chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.
Enfin, de plus en plus, les médecins - mais cette procédure reste expérimentale- recherchent des marqueurs de la maladie (fragments de protéine tau et de protéine amyloïde) dans le liquide céphalo-rachidien en procédant à une ponction lombaire.